Et après ? Ce sont Zacharie Bababaswe et compagnie. Une autre génération.
De qui ont-ils hérité? Pas des aînés en tout cas, sinon leurs prestations auraient été comparables. Ce qui n'est malheureusement pas d'actualité. Nous sommes à l'ère où le premier quidam venu se déclare chroniqueur ou journaliste en tout genre juste parce qu'il a une caméra numérique et qu'il peut balancer des images à qui mieux-mieux. Surtout sur le Net via des structures comme Youtube ou Dailymotion le tout saupoudré des « mabanga » (Dédicaces) en tout genre comme leurs potes musiciens.
Les médias ont explosés en RDC sans que la qualité des contenus ne suivent. Ce ne sont pas des hommes et des femmes de qualité qui manquent parmi les descendants de Nzinga Nkuvu mais ceux-ci doivent s'abreuver chez des maîtres de valeur. Ou ne fut-ce que imiter les meilleurs.
Un exemple : Avait-on vu à l'époque de Kuku Ngbendu un journaliste passer à la TV nationale pour invectiver un élu du peuple, Président sortant de l'Assemblée Nationale de surcroît, au vu et au su de tout le monde?
Dans un Congo où "artiste" équivaut à musicien et "sportif" à footballeur, le journaliste apparemment équivaut à celui qui parle de la musique et parle comme les musiciens. Mais s’arrêter à cette image réductrice serait faire offense à ceux qui s'efforce tant bien que mal à essayer de bien faire leur boulot. Il y an a.
Sous d’autres cieux, les journalistes ont toujours représenté un pouvoir fort. Rappelez-vous que le fameux "watergate" qui emporta Richard Nixon fut l'oeuvre de Carl Bernstein et Bob Woodward, reporters du Washington Post, journalistes d’investigation donc des véritables fouineurs.
Kuku Ngbendu compris très tôt cette force et s'entoura de Bondo N'sama et de René Essolomwa. Sans oublier quelques interviews avec les belges Frédéric François (RTBF) et Pierre Davister (Magazine Spécial). Aussi Sennen andriamirado de Jeune Afrique.
Au pays du vieux Simon, il existe la HAM (Haute autorité des médias) censé réguler tout ça. Un machin aurait dit de Gaulle. Aux dernières nouvelles, la HAM vient de suspendre Zacharie Bababaswe et son journal innovant « lingala facile) en lui déniant le titre de journaliste. C’est à croire que l’autorité vient de découvrir l’existence du gars qui n’a pas fait l’ISTI mais l’UPN. Devient-on chanteur seulement après l’académie ? Et l’éducation diffuse, quand fait-on ? Loin de défendre l’homme, on l’aime ou on ne l’aime pas, je crois qu’il y a d’autres moyens de lui chercher des poux sur la tête. Heureusement que le ridicule ne tue pas.
Enfin, tant que c’est entre eux … Moi je reste en dehors de tout ça. Je n’ai rien dit, foi du fouineur.
@+ sur http://www.rd-congo.info/ dit le fouineur de la RDC
VOUS AVEZ OUBLIE CERTAINS JOURNALISTES ET ANIMATEURS DE TALENT TEL QUE:MUSONGO WA MUSONGO APENDEKI, SULA MASULA, TAMBWE MUSHAPATA, ALEXIS KAZOLA, GEORGE GAYE,ANDRE MUKENDI, KAJINGU MPUMPU WA KABEYA, KWEBE KIMPELE, KASONGO MWEMA YAMBA YAMBA ET J'EN PASSE.ILS M'ONT TOUS DONNE LE GOUT DE FAIRE DU JOURNALISME. LE BEAU VIEUX TEMPS.
RépondreSupprimerAh Tambwe Mushapata !!! Comment ai-je pu l'oublier celui-là? Cest pour cela que j'ai écrit: J'en oublie ...
RépondreSupprimerJe vois que je ne suis pas le seul nostalgique.
Vous n’êtes pas le seul nostalgique. Ces journalistes nous ont tous épatés! Aujourd’hui on assiste à une prolifération de journalistes et chroniqueurs qui prétendent avoir fait l’IFASIC et qui font vraiment la honte de la profession. On en trouve en multitude sur des supports tels que YouTube et autres... toutes ses filles qui se disent chroniqueuses et chroniqueurs qui parlent un très mauvais français (ils/elles semblent être plus à l’aise en lingala) et parlent de sujets bidons et dont le 3/4 du contenu est constitué de “mabanga”, ou encore ses filles qui parlent des sujets obscènes dans toutes leurs publications,...
Supprimer...COMMENT OUBLIER UN ANIMATEUR DE TALENT? BRIC A BRAC, LE POT POURI DE LA VOIX DU ZAIRE. JE ME CONSOLE SOUVENT EN ECOUTANT "SOUL FINGER", L'INDICATIF DE "SUPER CONTACT No 1". JE NE FAIS QUE GLORIFIER CEUX QUI ONT FAIT LA PLUIE ET LE BEAU LE TEMPS. LE MODELE QUE J'AI TOUJOURS ADMIRE PENDANT MA JEUNESSE. OF COURSE IL Y A TANT D' AUTRES. MANY THANKS
RépondreSupprimerQUI SE SENT MORVEUX SE MOUCHE,DIT-ON. JE NE SUIS PAS DE LA GENERATION "AVEC IMPACT ET IDEOLOGIE".ON M'A REPROCHE QUELQUE PART QUE JE N'AI CITE QUE LES JOURNLISTES BALUBA. AMBROISE MOSETE MBOMBO N'EST MULUBA.KWEBE KEMPELE(PRONOCIATION SELON RFI)N'EST PAS MULUBA.J'AI VU KABALA MWANA MBUYI FAIRE UN REPORTAGE SUR LE BOULEVARD LUMUMBA A LULULABOURG EN 1971, TU N'ETAIS PAS ENCORE NE.MOI MEME JE NE SUIS PAS MULUBA. SO WHAT IS WRONG? ENCORE UNE FOIX, JE NE SUIS PAS DE TA GENERATION.SIMPLE. MANY THANKS
RépondreSupprimerDes grands il en a eu à la radio; des animateurs et réalisateurs de talent formés à l'OCORA qui déviendra plus tard l'INA à maison Laffite en france et d'autres formés sur l'état. On peut citer des noms comme Vital Tiembe(15-18), Géorges Hemedi, Faustin Makoso Lengi Lemba, Tshibangu Jilamulé, Tshilambu Muya, Aneki Ntinu lusaku, KItoko Likwanganzala, Izidore Kakusa, Edu Leïta, Marie josée Mansueki Mayika, Cécile Sala Ngudi, Léonnie Makuena Selo, Batudianga Beta, Sivikidi Beni. Evidemment, la liste est exaustive. Ca c'était de la radio. Il faut aussi signaler qu'au début des années 80 déjà Tiembe avait lancé ce qu'on peut appeler aujourd'hui "la radio réalité" avec des émissions comme "les pantouflards" ou encore "radio 2000", avant-gardistes à l'époque, ces émissions ont toutes été sucrées par l'autorité de l'OZRT.
RépondreSupprimerSuzanne BAZIOTA, LANDU KADIWAKU LEMBE Clément, Marcel NZAZI, LUNTADILA LUZOLO, NGUYA ENSA...
SupprimerIl faut aussi savoir que Géorges Gayet et Siula ma Siula ne font qu'une seule personne qui a eu comme mentor avec son inseparable complice Marcel Nzazi Mabidi, un certain Luc Michet qui était belge si ma mémoire ne me trahit pas.
RépondreSupprimerHé oui, la belle époque du journalisme zairois Je me rappelle qu' à l'unif, je séchais les cours tous les samedi pour écouter week-end en bonne compagnie de Nzazi Mabidi, Siula Ma Siula, Lutu Lesambo Kimper, Tshitenge Madika...
RépondreSupprimerGeorges Gaye, c'est bien lui SIULA MASIULA.
SupprimerET MUYUYU WA MWA MUYUYU..?
RépondreSupprimerET NZINGA BENANI????
EUX QUI M'ONT TENDU LEUR MICRO POUR LA PREMIERE FOIS....
DELPHIN KAWUMBU
ET AMOURY TAMBWE KAHENGA?....
RépondreSupprimerET KAZUMBA MWI MBAYI?
ET MAMAN BULA BULA LUENI KAPU MUMBUKI?
DELPHIN KAWUMBU
ET MUYUYU WA MWA MUYUYU?????
RépondreSupprimerET NZINGA BENANI?
ET CE TALENTUEUX KUDURA KASSONGO?
RépondreSupprimerET MPUTU KABAMBA LE MAGNIFIQUE?
ET MAHETA KAJAJ VIVIANE LA BELLE?
ET DELPHIN KAWUMBU LUKOJI BON POETE????
Euh! Pierre Kadima plutard Kadima bukasa, Nzadi Mabidi, babadi badi Bualu, katendi Zola , Wanani wani Sinda, Sasa Kiboba(mes excuse pour l'othographe)Clement vidibio, Ignance Mabeka, Mombong, .......
RépondreSupprimerRichard Kasongo
Sans oublier nos amis de l'émission Barza, Wamushala Kamba, Manda Tshebwa puis Putu Kabamba qui ont cultivé en nous la flamme littéraire et l'amour des belles lettres.
RépondreSupprimerComment donc vous pouvez oublier un géant comme kibambi Shintwa ?
RépondreSupprimerEt moi LE COQ DE L'AFRIQUE, comment pouvez-vous m'oubliez?
RépondreSupprimerJe vais actualiser ce texte suite aux multiples remarques et talents oubliés !!
RépondreSupprimerBolimbisa.
Tous ces noms m'ont renvoyé loin en arrière, quelle nostalgie!Je voudrais seulement savoir si Nanzi Mabidi vit encore, je suis Angolais grandi en RDC.Ces talentieux journalistes de la Radio et télévision du Zaire m'ont donné goût au journalisme que je pratique jusqu'à ce jour dans mon pays.
RépondreSupprimercd
RépondreSupprimerj' aimerai avoir le numéro de téléphone de monsieur Ignace Mabeka s'il vous plait il était mon chef
RépondreSupprimerJ'aimerai savoir si Mr Ignace Mabeka est toujours en vie. Jai plus de ses nouvelles depuis .SVP.
RépondreSupprimerQuasi tout le monde avait perdu les tracesq d'Ignace Mabeka; tout ce que je sais c'est qu'après avoir quitté la radio , il travaillait dans les années 80 à l'air zaïre et precisement à n'djili? Au jour d'aujourd'hui je suis incapable de ce qu'il est devenu
RépondreSupprimerCe qui est déplorable aujourd'hui, c'est que tout le monde fait du copier-coller. Toutes les émissions se ressemblent, aucun effort de conception et j'en passe. Je me rappelle que jusqu'à la fin des années 80 il arrivait encore que le ministre de l'information , le pdg de l'OZRT ou même le directeur des programmes suspende un animateur ou un journaliste parce que celui-ci manquait de créativité ou simplement parce qu'il bafouillait à l'antènne ou suite à l'utilisation des mots d'argot . Les résponsables de l'époque se souciaient non seulement du fond mais aussi de la forme des émissions. Le respect des conducteurs des émissions était strict . La langue française était respectée ; ne passait pas à l'antènne qui voulait ; et tous les noms cités dans ce blog ont fait honneur à ce metier de l'audiovisuel et ça c'était une autre époque
RépondreSupprimerQuelqu'un peut me dire ce qu'est devenu Mputu Kabamba? Il a fait Barza ou Notes de lecture et bien d'autres émissions culturelles à la télé dans les années 80. Il compte parmi les hommes qui se sont illustrés à la télé de par la qualité de leurs prestations. Des modèles pour la génération des jeunes que nous étions à l'époque. Nostalgie.
RépondreSupprimerDavid Mputu Kabamba vit ici en Belgique dans le brabant flamand précisément dans la ville d' haecht . Je sais qu'à une période il a été engagé local à l'ambassade de la RDC à Bruxelles. Il y a eu dans l'émission Barza une rubrique intitulée Barza a lu; beaucoup ignorent peut-être que des noms comme Tshitenge Lubabu ( qui vit en France) ou encore Mbuyi Bwebwe, alors stagiaire au SEVOZA, ont fourbi leurs armes dans cette rubrique qui leur aura servi de tremplin dans leur carrière respective . Il faut aussi citer Bababaswe( même si je n'aime pas trop) , qui a été dans les invités habituels de l'émission pendant longtemps; il était encore très jeune aux humanités et même plus tard lorsqu'il était à l'IPN . C'était un garçon respectueux des ainés rien à voir avec l'homme détesté et arrogant de nos jours.
RépondreSupprimerDavid Mputu Kabamba vit à Aalost dans le brabant flamands en Belgique. Quand on parle de l'émission Barza, il faut aussi penser à Mbuyi Bwebwe qui a tenu la rubrique Barza a lu pendant une période; il était encore étudiant stagiaire du SEVOZA à l'époque. Dans le même registre , il y avait aussi Tshitenge Lubabu qui a animé la même rubrique; lui, vit en France, à paris ou dans l'ile de France. Juste pour le rappeler aux nombreux nostalgiques de la belle époque que nous sommes.
RépondreSupprimerOUI IGNACE MABEKA VIT A PARIS, IL EST BIEN PORTANT. MAIS IL A PERDU UN PEU DE SA VOIX SUITE A SA MALADIE . MERCI LE VOTRE RICHARD KASONGO
RépondreSupprimerPensons aussi aux premiers présentateurs du JT, Journal Télévisé congolais, du début de la RTNC,dans les années 60-70 : Stéphane Kitutu O'leontua, Bienvenu Benyamino Monsuanga, Jean Nzunga Mbadi, (Simon Mohamed) Mbayi Kabunda, Michel Kimpele, Kuebe Kimpele, Babala Muel, Jacques Michito, Jacques Malomba, Heri Mambo Adjanga Djumbe, Géorgine Nkanza, Magloire Moleka, Ngongo Kamanda, Emilie Mavuela, Raymond Ramazi, Marie-Rose Kuakua, Kadima Bukasa, Lomba Tenda, Alphonse Mavungu Malanda Mongo, Alphonse Musongo wa Musongo Apendaki... sans oublier les speakerines: Gertrude Djamani, Cécile Mombong, Cathérine Mbombo...
SupprimerHeri Mambo Adjugudjambe plus précisément, Raymond Ramazani qui n'est autre que Ramazani Baya(ministre et ambassadeur); On dirait que le monde était mieux avant culturellement; je ne regrette pas d’être né hier, mais prions pour qu'un jour nos enfants et petits enfants le vivent aussi
SupprimerN'oublions pas la belle speakerine Joséphine Luzolo
RépondreSupprimerNe pas également oublier Carly Kanyinda qui a aussi fourbi ses armes à l'émission Barza de Timothée Wamushala Kamba. Après les études de journalisme à l'Isti - Ifasic à Kinshasa, Carly Kanyinda a collaboré longtemps au journal parlé de la Voix du Zaïre devenu Rtnc avant de poursuivre sa carrière journalistique dans la presse écrite où la liberté d'expression était tolérée que dans les médias d'Etat. Pour des raisons de ses convictions politiques, Carly Kanyinda s'est réfugié en France ou en Belgique où il vit.
RépondreSupprimerOui je sais que la RDC a de grands journlistes surtout au temps du President MOBUTU, je viens viens de lire la declaration du Grand KWEBE KIMPELE, sa voix de baryton m'enthousiamait je voulais devenir journaliste en le lui, je ne manquait aucuns de ses passages radios, alors que je venais d'entrer à la fac de droit. Il a aussi et SURTOUT un grand journaliste que je ne n'ai jamais oublié: MAVOUNGOU MALANDA MAMONGO, bien que proche du President Mobutu, il avait la maitrise de son travail. Wahou le ZAIRE aujourhui RDC, que de journalistes TALENTUEUX!
RépondreSupprimerTous les deux carillonneurs (Muyuyu Pecknar et Nzinga Benani) sont morts en fin des années 80. Tiembe Gani aussi tout comme Lomongo Nkake
RépondreSupprimerMputu Kabamba vit à Alost, en Belgique. Il a signé quelques articles dans la rubrique culturelle notamment du magazine "yambi" édité à Bruxelles sous l'impulsion de l'ambassadeur Mova.
RépondreSupprimerIGNACE mabeka est décédé le mercredi 30 mai à 11h à Paris.
RépondreSupprimerbonjour, nzazi mabidi Marcel est en convalence a la maison . il animait avec suila suila Georges gayet qui a present continuer avec les autres colegues tous les samedis a partir de 9 heures week end en bonne compangie.merci
RépondreSupprimerDes jeunes écrivains...
RépondreSupprimerComme kawumbu lukoji Delphin
Que sont ils devenus?
Aucune information sur lui.
SupprimerDes jeunes écrivains comme kawumbu lukoji
RépondreSupprimerQue sont ils devenus ?
Et personne ne parle de Charles Djungu Simba
RépondreSupprimerCharles Djungu Simba fut un des grands journalistes du journal télévisé de la Voix du Zaïre à l'époque et aujourd'hui Radio télévision nationale congolaise. Il a commencé sa carrière dans la ville de Bukavu où il est né et où il était déjà très populaire. C'est aussi un de nos écrivains qui ont le plus écrit et plublié. A son compte plusieurs romans. C'est aussi un enseignant: prof dans les instituts supérieurs du Congo et à l'Université nationale pédagogique de Kinshasa. Il est prof visiteur dans d'autres universités africaines comme au Kenya. Il fait sa thèse en lettres en Belgique obtenu avec grande distinction. Il a créé une maison d'édition active en Belgique et au Congo: il publie beaucoup des textes des jeunes talents. Ca vaut la peine de parler de son épouse Dada Stelle Nyota très connue dans les milieux du théâtre au Congo, en Afrique et en Belgique car, elle a fait l'INA Kinshasa plus un master en théâtre à l'Université catholique de Louvain en Belgique. Elle est également actrice de cinéma pour avoir joué dans pas mal des films tournés en Europe et en Afrique. Son marie, Charles Djungu Simba était parmi les journalistes de la Voix du Zaîre qui avaient, à l'époque, signé un document dit compromettant contestant le rôle dirigeant du MPR dans l'organisation de l'information à la Voix du Zaire. Ils furent tous révoqués et certains avaient repris plus tard. Mais, Charles Djungu Simba et les Charles Dimandja Wembi furent de ceux qui allèrent soutenir le débat dans les milieux de l'opposition avec les Léonard Mulamba Kalala. Tous ces trois furent au cabinet dEtienne Tshisekedi le père lorsqu'il fut 1er ministre sorti de la Conférence nationale souveraine. Charles Djungu Simba vit entre Bruxelles et l'Afrique dans le cadre de ses activités professorales et éditoriales. Ces quelques mots, je les dit de mémoire car il fut parmi mes préférés en tant que journalistes. Ce sont des gens comme eux qui m'ont donné le gout d'aller faire les études de journalisme. Il peut y avoir des oublies, ce dont je vous demande de m'en excuser. K.C.
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